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    Traitrise

    ♦ La moitié d'un ami, c'est la moitié d'un traitre♦

    VICTOR HUGO


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  • Destin

    ♦ Nous croyons conduire le destin ; mais c'est toujours lui qui nous mène ♦

    DENIS DIDEROT


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  • Tic Tac

    ♦ Le temps adoucit tout ♦

    VOLTAIRE


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  • ♦ En amour, il est plus facile de renoncer à un sentiment que de perdre une habitude ♦

    MARCEL PROUST


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  • Chapitre 27 :

    - De quoi, j'ai tout entendu ?
    - Je parle de la discussion que j'ai eus avec Dan... Takayuki.
    - Quand tu lui as déballé toute MA vie ?
    - Euh... Ou-Oui... je suis désolée, avouai-je en prenant conscience des faits.
    - Bon... t'as autre chose à me dire ? Sinon je me casse moi...
    - Non, je... tu... qu'est ce que tu as entendu précisément ?
    - Où est-ce que tu veux en venir ? Qu'est ce que tu cherches à me faire dire à la fin !?
    - C'est que... j'ai dis des choses que j'aurai préférée garder pour moi...
    - Dans quel genre ?
    - Ne m'oblige pas à le redire...
    - Juste avant qu'il ne t'embrasse je suppose... »


    Sa dernière phrase me fit l'effet d'une dague en plein cœur au moment même où il insista sur le 'embrasser' et je sentis les larmes me monter aux coins des paupières.


    « Ça n'a rien à voir avec ça ! fis-je un moment désespérée.
    - Tu crois ? Pourtant ça a beaucoup plus de points communs que tu ne le penses, m'interrompit-il, un brin d'énervement dans la voix.
    - Non, je ne... tu... murmurai-je, les larmes roulant peu-à-peu sur mes joues.
    - Arrête !!! J'en ai marre de jouer les gentils fanfarons et de fermer les yeux sur toutes les erreurs que tu fais ! »


    Plus Jordan hurlait, plus je me faisais petite et reculais.
    Mais je finis par me retrouver le dos plaqué contre le mur, sans aucune échappatoire, seule face à une personne que j'avais du mal à reconnaître, tant la colère plissait ses traits.


    « Jordan... Arrête, tu me fait peur...
    - Que j'arr... me coupa t-il, reprenant peu à peu son calme. Raaah !!! ça m'énerve !!! »


    Il frappa de son poing sur le mur à la hauteur de mon épaule, ses épaules au niveau de mon nez.
    Puis il fit geste presque plus fou que le coup dans le mur.
    Il se pencha sur moi et s'arrêta à quelques millimètres de mes lèvres alors que, en fond, la sonnerie des cours retentit, indiquant 9h30.
    Puis il se redressa et s'en alla sans un mot, les mains dans les poches comme il y a 15 minutes, me laissant seule avec les pensées.

    *****

    coucou tout le monde... je suis désolée du retard qu je prend... je fait ce que je peux pour publier les chapitres les plus tot possible >w<

    je voulais le publier hier... mais j'ai chopée la gastro, donc je n'ai pas pu... encore dsl >3<


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